Les points suivants, tels qu'ils sont relayés par la lettre ministérielle du 24 avril 2014, suscitent au sein de l'Assemblée générale la plus vive inquiétude, notamment sur :
- L'étendue et la nature exacte des transferts de compétence impliqués par la COMUE, en particulier la reconfiguration imposée des logiques de recherche et des écoles doctorales, la réduction drastique et inacceptable du nombre de thèses non financées, la rationalisation arbitraire de l'offre de formation et de l'ensemble des moyens.
- L'étendue des pouvoirs et la composition du Conseil d'administration de la COMUE, principalement la mainmise sur les moyens et sur la distribution de la dotation budgétaire ministérielle des universités Paris 8 et Paris-Ouest Nanterre.
Face à ces dangers, l'Assemblée générale:
- invite l'ensemble des conseils d'UFR à se saisir de la présente motion et à la voter.
- exige que l'équipe présidentielle saisisse le Conseil d'administration de l'université afin de travailler à un projet alternatif d'association.