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Publié le : 17/12/2011
Partant – il y a quelque dix ans – d’une situation française assez spécifique dans le monde avec de véritables formations secondaires technologiques et professionnelles –
tant industrielles que « tertiaires » et « agricoles » – certes méconnues et méprisées par l’élite politique, économique et administrative, mais très fortes, deux mutations
jamais proclamées ni débattues publiquement les ont successivement affectées :
- l’abandon de toute politique industrielle nationale, qui a déstabilisé les formations en « Sciences et techniques industrielles », même si au départ, la ligne était : « on délocalise mais avec notre savoir ». Parallèlement il y avait une critique permanente des formations technologiques en « Sciences et techniques de gestion ».
- puis l’abandon de toute ambition de formation des capacités à ce niveau : « si c’est en Chine qu’on produit, c’est là-bas que doit être faite la formation des producteurs ».
Pour le supérieur, les jeux sont plus complexes, les voies « technologiques » sont en fait les plus prisées, pas tant pour la technologie que pour l’accès en nombre contrôlé
➔Dossier coordonné par Gérard Lauton
dossier du mensuel n°570 (décembre 2008)