Académie de Nantes

1er avril 2010

La plupart des composantes ont cette année accepté de travailler sur les maquettes.

Une journée inter-universités (Le Mans, Angers, Nantes, IUFM) a fait avancer le travail.

Au cours de cette journée, une motion proposant la non-remontée des maquettes a recueilli 7 voix sur les 70 EC et formateurs présents.

A Nantes, les composantes Staps, Allemand, Sciences (math, Biolo, phy-chimie), IUFM ont fait remonter leurs maquettes à la présidence.
Lettres modernes et classiques, anglais, espagnol refusent de les faire remonter.
Histoire doit décider formellement aujourd'hui ou demain. Contrairement à ce que note le Snesup de Lyon2, la décision n'est pas prise. Les collègues d'histoire de Nantes ont fait une maquette et accepté (contrairement à l'an dernier) une place significative à la formation professionnelle.

A l'IUFM, la section Snesup est entièrement sur la position de sauver l'instrument de la formation que sont les IUFM et donc de remonter la maquette de l'IUFM. Sur ce point l'unité d'action est totale avec UNSA et SGEN.

Les représentants du Snesup au CA de l'univ Nantes sont sur la position suivante : on n'oblige pas les composantes qui refusent le remontée de leurs maquettes mais on permet à l'IUFM de vivre en votant la remontée de sa maquette (1er degré, PLP, CPE, ASH).
Une réunion FSU acad s'est tenue le 5 mars à Nantes. Il y avait présents le Snuipp 44, le coordonnateur acad FSU, la FSU 72, le Snesup 72 et le Snesup 44. La réunion a montré les limites de l'accord entre nous et mis en évidence la difficulté à faire de la non-remontée des maquettes le point central de la mobilisation.
Les maquettes remontées sont en étude au CEVU et CA de l'université se tiendra le 30 avril sur cette question.

En tout état de cause, le Snesup IUFM poussera au vote de sa maquette. C'est une façon de démentir la position désastreuse du pouvoir sur la formation.